RAPPORT D’ACTIVITE MAP 2013

 

 

En 2013, MAP continue à aller de l’avant avec sa petite équipe toujours enthousiaste et avec votre aide précieuse.

 

NICE

 

Nous continuons notre action  avec l’association M.I.R. créée par le père Patrick Bruzonne, curé de l’Ariane.

Nous avons un peu augmenté notre aide financière passant de 600 à 800 euros pour l’année. Deux fois par semaine les repas sont servis par l’association : 250 repas le lundi et 300 le samedi.

Les cotisations, les parrainages, deux fêtes à Gairaut chez Shirley, un restaurant pour l’AG et quelques dons nous permettent d’aller vers les plus démunis mais c’est dur de trouver des fonds.

 

MALI

 

Avec les évènements dramatiques, nous avons envoyé des fonds supplémentaires à Aminata, notre fidèle correspondante, pour acheter des médicaments et du matériel afin d’enrayer le choléra qui sévissait à Bamako par manque d’eau  potable. Nous avons envoyé 2 000 euros cette année au lieu des 1 000 euros habituels.

A notre ami Assoura, journaliste à Tombouctou, nous avons envoyé 500 euros. Il avait besoin d’argent pour acheter des burkas pour les femmes pour qu’elles puissent sortir sans se faire violer ou tuer par les islamistes.

Heureusement, les forces françaises étant intervenues entre temps, la situation des femmes s’est améliorée et l’argent a servi à aider une école à se remettre en fonction.

Pour  village de Fafa, plus aucune nouvelle malgré plusieurs courriers. Nous avons appris par Aminata, que le village avait été lui aussi occupé par les terroristes. Nous espérons que nous aurons, bientôt,  des nouvelles rassurantes.

 

THAÏLANDE

 

Béatrice et Bruno membres de MAP ont pu porter, pour MAP, 1 000 euros aux religieuses de l’école de Baan Marina. Ils sont encore une fois revenus enchantés par le travail et le dévouement de ces femmes qui enseignent la couture aux jeunes filles souvent enlevées ou vendues par leurs parents pour finir sur les trottoirs de Bangkok. Après deux ans d’apprentissage, elles obtiennent un travail de couturière.

                                                                                                                         

Encore merci pour votre soutien  et votre fidélité ! Bien à vous

La Présidente, Shirley Saramito.

 

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 Dixième séjour en Birmanie (décembre 2013 – janvier 2014)

 

 Nouvelles des lieux de soutien

 

Irrawaddy Homeland (président de l’association : Père Benjamin)

Le contrat de trois ans entre l’ONG milanaise AVSI et l’association locale  « Irrawaddy Homeland » étant arrivé à son terme, les habitants de la brousse  bénéficient  désormais d’un bâtiment équipé pour la production de riz, leurs enfants d’une école forte de dix enseignants et  de deux pensionnats, l’un pour garçons, l’autre pour filles.

Le pensionnat de Myaungmya étant devenu presque auto-suffisant grâce à l’élevage et la vente de porcins, la contribution de MAP sera répartie cette année de la manière suivante : un quart de la somme versée sera utilisée pour équilibrer le budget  du pensionnat ;  les trois-quarts restants couvriront les frais d’études des 25 étudiants séjournant au foyer près de l’Université de Pathein (sur les 21 étudiants inscrits l’an passé, 19 ont réussi leurs examens).

 

The Light of Asia (président de l’association : Dr Kyaw Htin)

Nous avons eu le plaisir de constater que l’ambulance acquise il y a trois ans s’avère d’une grande utilité pour toute la population de la région, étant la seule fonctionnant sur un rayon d’une soixantaine de kilomètres.

 Le chèque de cette année contribue à la construction en dur de l’orphelinat tout proche auquel il ne manque plus que l’installation des portes  et  fenêtres, ainsi que de l’équipement intérieur.

Quant au centre médical,  une salle d’accouchement  ayant été prévue dans le grand bâtiment érigé il y a quatre ans, nous avons suggéré que notre prochaine contribution concerne en priorité l’acquisition du  matériel nécessaire aux besoins des soins d’obstétrique

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Le foyer catholique de Lashio

Sœur Thérèse Ling  a été mutée à Lashio pour diriger le couvent qui abrite l’orphelinat de fillettes dans cette ville située à l’est de Mandalay, sur la « Burma Road » (cinq heures en autocar de Si Kar, douze heures en train). Quatre jeunes filles restées au couvent Saint-Joseph de Mawlamyine  (sous la responsabilité de Sœur Thérèse jusqu’à l’année dernière), rejoindront leur nouveau foyer ce printemps, dont l’étudiante parrainée par Dominique Mandrilly. Les conditions à Lashio, en pays shan, sont encore beaucoup plus éprouvantes en raison du type d’agriculture qui y prévaut et conditionne négativement la vie paysanne (culture du pavot), tout comme l’état  d’insurrection permanente à l’encontre du gouvernement central issu de l’ethnie majoritaire. Il n’est donc pas surprenant pour Sœur Thérèse d’avoir affaire à plusieurs cas particulièrement inquiétants : des enfants complètement abandonnées alors que la mère purge une longue peine d’emprisonnement pour trafic de drogue, et que le père est  parti guerroyer aux côtés de l’armée rebelle. Sœur Thérèse nous confie qu’il n’est pas rare de trouver des doses d’opium dans les poches de certaines  fillettes, ce dont elle s’empresse de se débarrasser afin de ne pas courir le risque de poursuites policières sans pitié.

Nous mesurons l’état désastreux de la situation sociale dans cette province rebelle lorsque nous apprenons que les porteurs du virus du sida ont tendance à vendre leurs propres médicaments afin d’acheter de quoi manger à leur famille. Inutile de pérorer sur la gravité des conséquences dues à l’ignorance. Sœur Thérèse avoue son incapacité à conseiller utilement les personnes qui font appel à son aide ; il faudrait, nous dit-elle, que le personnel du couvent puisse à tour de rôle suivre un stage qui lui permettrait d’informer les personnes infectées sur l’importance du traitement disponible, et comment s’y conformer. Certes, une équipe de « Médecins sans frontières » est active au sein de la jungle, dans la lutte à la fois contre le paludisme et le sida, mais elle est implantée plus au nord du pays, dans une zone très difficile d’accès.

L’association française « Enfants du Mékong » étudie actuellement le projet d’installation d’une citerne qui permettrait d’approvisionner le couvent en eau potable pendant la saison estivale, période à laquelle le puits est asséché. Par ailleurs, Sœur Thérèse nous fait part des inconvénients quotidiens auxquels font face les quarante-trois pensionnaires, surtout en début de matinée en raison du caractère dérisoire des sanitaires, le foyer ne disposant que de trois cabinets de toilette, avec comme conséquence fâcheuse le fait que les fillettes ne parviennent pas à se rendre à l’école à l’heure en raison des files d’attente interminables devant les toilettes.

Il semblerait que lors de notre prochain séjour nous serions à même de financer l’installation de deux cuvettes de WC reliées à une fosse septique.

 

Comptabilité des financements effectués  pour l’année  2014

 

            Association « Irrawaddy Homeland »              4 000  €  +   300  US $

Association « The Light of Asia »                    4 000  €   +  100  US $

            Soeur Thérèse Ling                                               250 €                                                                                                    (afin de  couvrir les frais d’études de Lucy,  Couvent catholique de Lashio )

                              

 

Lisbeth & Michel Martiny,    martinylisbeth@yahoo.fr

 

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CAMBODGE 2013

 

En vacances au Cambodge, j'ai consacré 3 jours aux actions de M.A.P. dans ce pays et ne l'ai point regretté !

Tout d'abord, avec notre correspondant local Monsieur Prak Man, j'ai participé à la distribution annuelle de matériel scolaire et sportif dans deux écoles primaires, l'une à  KOMPONG CHAM et l'autre à OUDONG.

J'ai pu apprécier le dynamisme, la gentillesse et l'extrême organisation de ce Monsieur de 80 ans qui n'hésite pas à faire 2 à 3 heures de route avec le coffre plein de ce qu'il sait nécessaire à ces écoliers, ou à se saisir d'un mégaphone pour haranguer les 500 élèves et leur faire remercier M.A.P. en cambodgien et en français. Car il parle aussi délicieusement français. 

J'ai pu aussi, dans la première école : Mohakhnhoung Primary school, admirer le beau bâtiment construit par M.AP. il y a plus de 10 ans et constater qu'ils en prenaient grand soin et compris pourquoi il nous demandait depuis deux ans de débloquer des fonds pour refaire le sol abîmé par l’inondation. Ayant reçu l'argent 15 jours plus tôt, le carrelage et les sacs de ciment étaient déjà sur place et un devis détaillé à notre disposition !

Il va sans dire que dans les deux écoles directeur, directrice, professeurs, élus locaux et élèves, tous nous firent un accueil des plus chaleureux... 

Tant que Monsieur Prak Man est au commande, M.A.P. n'a pas de souci à se faire !

 

D'autre part j'ai passé deux nuits à Sokoma le centre d’accueil  à Phnom Penh  de Madame Sokha Thing. J'ai rencontré les 23 enfants du nouveau groupe, formé il y a quelques mois, ainsi que 2 jeunes filles de l'ancien groupe qui viennent donner un coup de main à Sokha pour encadrer les enfants. Le dimanche après-midi j'ai assisté à un cours de français donné par l'une d'entre elles qui se débrouille fort bien. Puis Sokha leur a fait lire une histoire à tour de rôle et après leur a fait dégager la morale de l'histoire. On sent que sa préoccupation première est de les maintenir dans le droit chemin, car le danger de la drogue et de la prostitution est bien réel. Elle est en train d'aménager une salle vidéo pour pouvoir leur passer des films éducatifs et édifiants. Elle aimerait qu'on lui envoie des DVD de dessins animés, de préférence sous-titrés en anglais.  Je pense qu'elle devrait aussi recruter un professeur pour apprendre aux enfants à lire correctement dans leur langue. Le problème c'est qu'il n'y a pas beaucoup de temps pour les cours, les enfants n'étant libres que le dimanche car après l'école ils doivent aider leurs parents ou faire des petits boulots....

En me promenant dans le quartier, j'ai vu qu'elle gardait un œil sur ses ouailles, même sur celles qu'elle a confiées  aux Guides et qu'elle réprimande gentiment si le décolleté est trop profond ou le maquillage exagéré et ces jeunes filles semblent lui en être reconnaissantes et l'embrassent comme du bon pain.

Depuis l'ouverture du centre une centaine d'enfants ont bénéficié des conseils avisés et des attentions de celle que je vois comme «  la grand-mère au grand cœur ».

Maryel

                                                                      

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INDE 2013-2014

 

                         M.A.P. - France & SEED Konyashram à Tandapalli, Malkangiri district, Orissa.

 

Les régions tribales sont toujours interdites aux étrangers, sauf autorisation spéciale, en raison des menaces Maoïstes. Mais, étant donné que sur ma demande de visa j'avais bien mentionné que je comptais séjourner dans la région de Malkangiri, et qu'on m'avait accordé le visa, j’ai tout mis en œuvre pour pouvoir séjourner, cette année, pendant 5 à 6 semaines au pensionnat de Tandapalli.

Une fois vaincue la résistance de Sarang, le directeur de l'ONG indienne NYSASDRI, qui tremble toujours pour ma sécurité, j’ai pu faire les 750 km en train jusqu'à Jeypore.  Mais, pour les 120 derniers kilomètres qui couvrent une région montagneuse fief des Naxalites (Maoïstes), nous avons dû donc louer une voiture avec chauffeur pour ne pas courir de risques, dès le départ, et  attirer des ennuis à NYSASDRI. Pranaya, pharmacien de formation, mais qui coordonne et supervise de nombreux projets depuis 12 ans  avait pour mission de m'escorter depuis Bhubaneswar et de recruter 4 maçons et 6 aides pour le revêtement en ciment du mur construit par M.A.P au printemps dernier. J'étais ravie car il est agréable, dynamique et se débrouille fort bien en Anglais.

 

La situation sur place :

 

Toujours les mêmes problèmes pour recruter des institutrices compétentes et les garder.

Cela empire car le gouvernement, ayant des quotas à respecter, débauche nos professeurs d'origine tribale ou Bengali  Nous avons donc déploré le départ de trois de nos institutrices. Comment le leur reprocher : l’état leur offrait le statut de fonctionnaire à 5 200 roupies et avec nos malheureuses 1 500 roupies nous ne pouvions pas nous aligner !

 Cependant,  le bilan est positif : une dizaine d'anciennes élèves sont, à présent,  fonctionnaires dans l'éducation, la santé ou la police.  Ma première génération de CM2 termine leur 3ème. En avril 2015 elles  pourront, déjà,  aspirer à des emplois correctement payés,  mais on ne peut que leur souhaiter de pouvoir poursuivre leurs études. Notre école est donc un tremplin pour leur donner un avenir ! Ce n'est déjà pas si mal, car sans cette école primaire qui les prend entièrement en charge pendant 5 ans, elles seraient restées illettrées et n'auraient jamais pu intégrer un pensionnat du gouvernement, gratuit à partir de la 6ème.

Après discussion avec les  professeurs présents cette année, j'ai abandonné l'idée que M.A.P. aide à payer davantage des professeurs pour les fidéliser. C'est mission impossible : on ne pourra jamais leur donner le statut de fonctionnaire  auquel ils aspirent !

 Par contre si on arrivait à recruter une Directrice parlant correctement anglais et capable d'aller sur internet pour nous donner des nouvelles en direct, je pense que cela vaudrait la peine car elle pourrait assurer une certaine continuité et enseigner des rudiments d'anglais au personnel fluctuant.... On recherche donc quelqu'un qui n'appartient pas à une minorité ou qui a dépassé la limite d'âge pour être recrutée par le gouvernement....

Le casting est ouvert mais il n'y a que peu de candidates....

 

Pourtant la vie sur le campus est devenue très agréable grâce aux investissements de M.A.P. dans le complexe sanitaire, l'eau courante jusqu'à la cuisine et une partie du potager, l'électrification du campus et les 2 panneaux  solaires qui prennent le relais lors des coupures fréquentes de courant, Et  LE MUR de 350 mètres de long  qui  est vraiment une réussite car vaches, chèvres, cochons ne se baladent plus en toute impunité sur le campus, broutant les plantations et anéantissant le travail des enfants et leur espoir d'avoir quelques légumes pour agrémenter leur riz.  Aubergines, pois gourmands, tomates, épinards , des papayers et même une superbe bananeraie de bananes plantain sont sortis de terre et grandissent sans prédateur. Une belle récolte de piments s'annonce dans les 2 jardins hydroponiques.

 L’an dernier, les crédits destinés à la construction du préau ont été engloutis dans l’édification de notre mur d’enceinte mais cette année mon rêve a pu devenir réalité !

Une rapide évaluation des coûts m'a montré que peu ou prou  nous avions suffisamment d'argent  pour leur construire ce hangar amélioré.... Ce qui correspondait bien à ce qui était notre priorité: un espace pour les enfants, bien à elles, pour manger, étudier, jouer, faire leur gymnastique, danser, paresser à l’abri d’un soleil de plomb ou d’une pluie torrentielle.

 

Le bureau de M.A.P nous ayant donné son accord, nous avons foncé Pranaya et moi tête baissée dans l'aventure :

Le projet était un préau à structure métallique de 16 m sur 8 m d’une hauteur de 4,60 m au centre et de 3,65 m sur les côtés posé sur une plate-forme de 60 cm de haut ( à cause des inondations  pendant la saison des pluies) avec un petit muret sur son pourtour qui servirait de  banquette.. 

 Mais construire ce type de hangar basique chez nous, devient, dans ce coin reculé de l’Inde et avec Pranaya et moi comme maîtres d’œuvre, une entreprise prométhéenne.

 Nous avons du nous improviser géomètres pour tracer au sol le plan du bâtiment et trouver des matériaux adéquats mais ultra-novateurs ici : 10 piliers métalliques de 30 cm de section et 5 fermes destinées à soutenir la toiture et des tôles colorées en acier galvanisé mélangé à de l’aluminium, ce qu’il y a de mieux parait-il pour protéger des hautes températures.

 Nous n’avions qu’une idée approximative du coût de la structure métallique car l’ouvrage se paye au poids livré : 80 roupies soit 1 € le kilo.

 Il a fallu abattre de grands arbres plus ou moins sacrés, remblayer la plate-forme, replanter ailleurs les aubergines qui risquaient d’être écrasées par la noria des tracteurs livrant les matériaux, vérifier l’implantation exacte des piliers car avec la structure métallique on ne pouvait pas se contenter d’à peu près et ensuite, mettre en place avec les moyens du bord des traverses de 120 kilos et de plus de 7 mètres de long sur des piliers  à 3,65 m du sol ! Ce fut épique mais bon, tout se passa bien.

 Quand je suis partie, le toit n’était pas encore posé. J’étais un peu frustrée de ne pas pouvoir contempler notre œuvre achevée.  Depuis, j'ai reçu les photos de notre préau de 120 m2 pratiquement terminé et il paraît que le nombre de visiteurs ne cesse d'augmenter: notre préau est devenu la curiosité du coin comme, en son temps, l'avait été notre complexe sanitaire!

Je crois que l'on peut déjà dire : mission accomplie. Ce fut un tour de force, rendu possible par la présence de Pranaya à mes côtés !

 

 Au cours de ces 5 semaines sur place, les 350 mètres de mur furent aussi recouverts de leur enduit de ciment pour assurer leur longévité ; une sortie scolaire avec pique nique au bord du lac de Satiguda , à 20 km, organisée ; les bicyclettes remises en état ; un tracteur de sable donna un regain d'activité à la fosse au saut en hauteur et longueur; de nouvelles cordes à sauter, volants et raquettes de badminton et un ballon de volley, de même que les échasses et autres jeux apportés de France animèrent soirées et week-ends ; sans oublier la distribution de matériel scolaire individuel et collectif et l'amélioration de l’ordinaire pour quelques repas avec du poulet ou des œufs; l'amélioration aussi de l'hygiène avec l'achat de filtres à eau pour les enfants, des conditions de vie par la réparation de la pompe à main, le changement des robinets qui fuyaient dans le complexe sanitaire, l'achat de tuyaux d'arrosage et de différents outils  pour faciliter la vie et les menus travaux d'entretien.... Nous avons aussi fêté Saraswati puja en l'honneur de la déesse de l'éducation et Kolpana, la fillette que nous avions fait opérer d'un strabisme avancé il y a 2 ans a pu nous rendre visite : son année de 6ème se passe très bien, elle est beaucoup plus sûre d'elle même. Nous continuons à la parrainer, si on peut dire : 26 € pour un salwar kamis (tenue locale), 2 paires de chaussures, un sac à dos et des fournitures scolaires... sa famille est vraiment extrêmement pauvre.

 

Rapport financier :

 

Nous avons dépensé cette année 5172 €

  540 € pour le parrainage de 3 enfants à l'ODM school de Kashipur

    48 € de matériel acheté en France : posters ardoises, pochettes  transparentes, tampons encreurs etc

  427 € pour toutes les actions précédemment mentionnées.

4157 € pour la construction de notre préau de 120 m2.

 

Maryel

 

 

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